Nancy Axelrad Lauvernay

Nancy Axelrad

6 rue Gallien, 38500 Voiron



N° ADELI : 38 93 1555 7
No SIRET : 47960927300038

 

Qui suis-je ? 

 

Je suis psychologue clinicienne, psychothérapeute, passionnée par ce métier et animée par l’envie d’accompagner des personnes en souffrance psychologique dans leur chemin de vie, de construction ou de reconstruction.

« La vie ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre à danser sous la pluie »

                                                                                     Sénèque

Mon expérience

Depuis ma formation de psychologue clinicienne, j’ai travaillé en cabinet en libéral et en même temps dans diverses institutions (Centre Médico-Psychologique enfants, adolescents ; EHPAD ; Foyers de vie pour personnes déficientes intellectuelles avec troubles associés : TSA (Troubles du Spectre de l'Autisme),  troubles psychotiques, syndromes génétiques, Maison d’Accueil Spécialisée).

Aujourd’hui, je pense avoir eu une expérience suffisante en institution, et je me tourne exclusivement vers ma pratique libérale.

Je complète cette pratique avec une régulation de groupe, notamment dans l’Association SOS Inceste Pour REVIVRE, ainsi qu'avec de la supervision d’équipes.

 

L'EMDR, une approche thérapeutique complète

Au cours de ma pratique de psychothérapeute en cabinet libéral, j’ai découvert l’intérêt d’une approche basée sur l’E.M.D.R. (Eye movement Desensitization and Reprocessing), approche qui, par définition, permet de retraiter des traumas, c’est-à-dire des blessures psychiques en lien avec des événements traumatiques qui n’ont pas pu être traités spontanément par le cerveau, et qui sont encore stockés dans une mémoire traumatique plutôt que « rangés » dans la mémoire auto biographique.

Dans ce cas, la personne souffre de ce qu’on appelle un Trouble de Stress Post Traumatique (TSPT) qui est fait de croyances irrationnelles sur elle-même, d’émotions (peur, colère, tristesse), de sentiments (honte, culpabilité, etc.), de sensations corporelles difficiles, de pensées ou d’images intrusives, etc.

Cela peut aussi se manifester par des phobies, TOCs, de la dépression, un trouble anxieux, des troubles du comportement alimentaire, etc.

La personne se trouve alors entravée par des problématiques qui ne lui permettent pas de vivre sa vie sereinement, et ce sont ces problématiques qui l’amènent à me consulter.

Consciente de l'intérêt de cette approche pour mes patients, j’ai fait le choix, il y a quelques années, de me former en E.M.D.R. à l’Institut Français d’EMDR https://www.ifemdr.fr/qui-somme-nous/institut-francais-demdr/ qui forme des psychologues et des psychiatres et d'adhérer à l'association EMDR France.

Ma formation s’est concrètement déroulée sur plusieurs années, me permettant à l’issue de la formation de base (deux ans de théorie et de pratique avec une supervision clinique soutenue), d’accéder à des outils qui me permettent aujourd’hui d’appliquer ces protocoles, aussi bien à des personnes souffrant de traumas simples (accident de voiture, agression, etc.. ) qu'à celle souffrant de traumas complexes, c’est-à-dire souvent multiples ou répétés, et à l’origine parfois de troubles dissociatifs dont il est important de savoir tenir compte pour la sécurité psychique du patient.

Ce complément de formation intitulé « La Boîte à Vitesse : Comment adapter l'E.M.D.R. au traitement des personnes souffrant de traumatismes complexes et de troubles dissociatifs » m’a amené à me former aussi au traitement des empreintes précoces. Bien que les événements qui sont rattachés à la périnatalité (période fœtale, période de la naissance, et période après la naissance de 0 à 3 ans) ne laissent pas de souvenirs à proprement parler, ils laissent des empreintes qui peuvent donner lieu à des représentations que le patient peut avoir un bénéfice à travailler, que ce soit pour développer plus encore son sentiment d’existence que pour travailler sur sa place dans la famille puis dans sa socialisation.

La ou le patient·e peut aussi, à cette occasion, travailler sur des blessures d’attachement, les blessures de liens, bénéficier aussi de l'introduction de figures symboliques qui constituent des ressources pour la personne dans ses relations.  L'enjeu pour elle est de trouver de  l’apaisement dans les relations avec ses proches, qu’ils soient ou non, encore en vie.

Je me suis ensuite intéressée à l’impact des traumatismes transgénérationnels sur le travail sur les traumas survenus dans la vie de la personne.

Les traumatismes trans générationnels peuvent agir comme des verrous qui viennent empêcher le traitement des traumas qu'on appelle oncogénétiques, d'où l'importance de savoir les traiter.

J’ai donc complété mon cursus par cet autre module : « De la prise en compte à la prise en charge des traumatismes transgénérationnels en EMDR ».

Me former me paraît fondamental ! Cela me permet de répondre au mieux aux demandes de celles et ceux qui viennent me consulter !